Jean-Pierre DECOOL
Député du Nord

11 place du Marché aux Fruits

59630 BOURBOURG

Tél : 03 28 22 33 33
Fax : 03 28 20 00 86

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Un Député Actif à Paris et dans sa Circonscription


Jean-Pierre DECOOL, né le 19 octobre 1952 à Bourbourg, est marié, père de trois filles et grand-père de deux petites filles et un petit fils. Professeur de mathématiques aujourd’hui en retraite, il fut aussi chargé de statistiques agricoles pour le Ministère de l’Agriculture. Il s’investit très tôt dans l’activité citoyenne, par le biais des associations, il entre notamment au Conseil d’Administration d’une association de pêche à 16 ans.

Son goût marqué pour l'intérêt général et sa volonté de s'investir au service des autres, l'ont conduit à s'engager tout naturellement dans l'action politique. Conseiller Municipal en 1983, il devient Maire de Brouckerque en 1990 et fait le choix de ne plus se représenter à ce poste en 2014.

Il conquiert également le siège de Conseiller Général du Canton de Bourbourg en 1994 qu’il a occupé jusqu'en mars 2015, et s’investit beaucoup dans les structures intercommunales : Président fondateur de la Communauté de Communes de la Colme de 1993 à 2002, Président fondateur du Pays des Moulins de Flandre de 2005 à 2008 et Président de l’Association des Maires du Nord de 1996 à 2002.

Député suppléant de Gabriel DEBLOCK de 1993 à 1997,  il est élu Député de la 14ème circonscription en 2002, puis réélu en 2007 et 2012. Il n'est membre d'aucun parti politique. Il est apparenté sur le plan fonctionnel au groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale. Il préside depuis 2015, la Fédération des Elus Non Inscrits du Nord (FENIN).

Reconnu par ses pairs, à l'Assemblée Nationale et sur le terrain, comme un infatigable travailleur et comme allant jusqu'au bout dans la défense des dossiers, Jean-Pierre DECOOL n’a qu’une obsession : « écouter pour agir ». Pour cela, il utilise toutes les tribunes possibles pour que le message soit entendu et appliqué. Il est notamment l’auteur de deux Lois : une créant le Chèque Emploi Associatif en 2003 et une autre l’étendant à 9 équivalents temps plein en 2008.

Il est aussi l’auteur du volet « télétravail » dans la proposition de loi de Jean-Frédéric POISSON, Député des Yvelines, visant à faciliter le maintien et la création d’emplois, adoptée en 1ère lecture à l’Assemblée Nationale, le 9 Juin 2009.

Membre de la Commission des Lois, il est également depuis 2012 le Président du Groupe d’études « filière brassicole » à l’Assemblée Nationale. Lieutenant Colonel (R.C.) de la Gendarmerie Nationale, il a été auditeur dans la promotion Vidocq de l’INHESJ (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice).

C’est enfin un passionné de nature, de colombophilie, de pêche, de sports équestres. Grand connaisseur de la gastronomie française et amateur averti de vins, il aime les petits plaisirs de la vie et trouve auprès des siens un soutien sans faille.

 

Quelle est votre plus grande fierté ?

Ma plus grande satisfaction a probablement été d'obtenir que l’autoroute A25 soit rénovée, en préservant sa gratuité. Certes je n'étais pas seul à mener ce combat, mais je crois pouvoir dire que j'y ai consacré beaucoup de de temps et d'énergie. Je citerais aussi aussi les deux lois que j'ai moi-même rédigées et déposées, instaurant le chèque emploi associatif en 2003 et son extension en 2008, afin de simplifier la vie associative. Je cite d'autant plus volontiers ces initiatives qui prouvent qu’il n’est pas indispensable, pour un député, d’être encarté dans un parti politique, pour exister.

Votre plus grande déception ?

N’avoir pas réussi à faire réviser la loi Fauchon, cette loi qui ne garantit par une défense légitime des victimes de l’amiante en matière pénale... J’ai attendu des propositions en la matière, qui ne sont jamais venues. C'est pourquoi j’ai moi-même déposé une proposition de loi, visant à faciliter la reconnaissance de la responsabilité pénale en cas de maladie ou d’accident professionnels. Une cinquantaine de collègues du groupe majoritaire auquel je suis apparenté, des communistes et des membres du nouveau centre ont cosigné ce texte. Aucun député socialiste ne l'a accepté. Les malades de l’amiante ne sont ni de droite, ni de gauche ! Cela restera une véritable amertume.

Votre regret ?

De ne pas disposer de 48 heures par jour... Mais aussi, comme je l'évoquais il y a un instant, je regrette que, sur certains sujets, l'appartenance politique compte davantage que l'intérêt général en cause.

Un fou rire ?

La scène se déroule en Mairie d'Hondschoote, à l'occasion de la commémoration de la bataille de la gendarmerie. Le dessinateur et humoriste PIEM était l'invité d'honneur de cette manifestation. Pendant les discours officiels, il s'approche de moi, passe son bras dans mon écharpe de député et me glisse à l'oreille : « Moi aussi, monsieur le député, j'ai le bras en écharpe ! » Fou rire difficile à contenir lors d'une telle cérémonie...

Une situation inattendue ?

Lorsque deux contrôleurs du TGV m’ont invité à mettre ma veste et les suivre dans leur local technique. C’était peu après le débat sur les retraites. Je pensais qu’ils souhaitaient qu’on aborde ce problème sérieux. En réalité, ils m’invitaient à partager la galette des rois à 6h50 du matin. J'ai même participé au départ en retraite d'un contrôleur !

Vos plus fortes émotions ?

Sans hésiter, ma rencontre avec l’Abbé Pierre, dans son modeste logement. J’étais alors parlementaire en mission. Avec grande sagesse, il me disait alors : « Monsieur le Député, la France est comme une maison moderne : avec l’eau, l’électricité, le chauffage, l’informatique... mais il n’y a plus de carreau cassé pour entendre la plainte des gens qui pleurent ».

Ce qui vous a choqué ?

Le spectacle que donnent parfois certains députés, qui perdent leur sang froid et se livrent à certains débordements, vociférant, insultant certains collègues. Ils oublient ainsi que la séance est retransmise et qu'elle est donc suivie par de nombreux citoyens, parfois jeunes.

Ce que vous ferez, en priorité, dans votre prochain mandat ?

Si les électeurs de la 14ème circonscription m'accordent à nouveau leur confiance, je compte bien mener une réflexion sur notre enseignement, et plus particulièrement sur l’accompagnement et la scolarisation des enfants âgés de deux ans, problèmes assez spécifiques à notre territoire.

Ce qui vous choque dans le fonctionnement de notre Administration ?

La lenteur et la complexité administrative. La plupart des amendements que j’ai pu faire adopter visaient justement à améliorer la clarté et le pragmatisme des textes législatifs. On légifère malheureusement beaucoup trop, et trop vite.

 

Jean-Pierre DECOOL, votre Porte-Parole à Paris

Au niveau national, Jean-Pierre DECOOL conjugue de nombreux engagements, multiplie les prises de positions et agit au quotidien pour vous représenter et vous défendre.

Membre actif de la commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale, et déjà auteur de 2 Lois sur la création et l'extension du chèque emploi associatif (2003 et 2008), l'action de Jean-Pierre DECOOL en chiffres, lors de son mandat 2007 – 2012, c'est aussi :

  • 311 Questions Ecrites au Gouvernement ;
  • 17 Questions Orales au Gouvernement ;
  • 11 propositions de loi à sa propre initiative, 625 propositions de loi cosignées ;
  • 279 amendements adoptés, 1991 amendements déposés ;
  • 296 interventions en Hémicycle, 49 interventions en Commission ;
  • 113 votes favorables, 29 défavorables et 5 abstentions sur les scrutins législatifs ;
  • 1 Rapport publié.

Jean-Pierre DECOOL entend, plus que jamais, être le député proche de ses concitoyens sur le terrain, au service d'une seule volonté : être au coeur de leurs préoccupations afin de les rendre ''visibles'' à Paris.

*Tout ce qui est énoncé ici est vérifiable sur les comptes rendus officiels de l’Assemblée Nationale ou dans la rubrique dédiée de ce le site.

 

Une action reconnue par les classements de députés

  • 17ème député de France sur 577, Premier député de la Région, 5ème « force de proposition » au sein de l'Assemblée nationale (Etude du Cabinet Interel, publiée dans Le Figaro du 24 mars 2011).
  • 3ème député « le plus poil à gratter », cité dans les « parlementaires qui devraient servir d'exemple » (L'Expansion du 30 mars 2011).
  • 3ème député ayant fait adopter le plus grand nombre d'amendements (Collectif Regards Citoyens en mai 2011, www.nosdeputes.fr).
  • 5ème député de France (Argus Parlementaire publié dans le magazine n°98/99 de Contribuables Associés en juillet 2011).
  • Député « le plus dynamique » (Etude du Lab d'Europe 1, parue le 9 janvier 2012, intitulée « les fourmis de l'Assemblée »)